Poésie de la Garrigue

Tant de fois observée et photographiée,

Je mesure ta patience et ta ténacité,

De fleurs en fleurs jamais ne te décourage,

Et toujours vaillamment te remets à l’ouvrage.

 

Abeilles mellifères, sauvages, en solitaire,

Ouvrières appliquées, vous n’avez pas d’horaires.

De couleur brune, jaune ou reflet métallique,

Toutes pollinisatrices, et tellement magiques.

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Toi l’abeille si utile, tellement indispensable,

Sans ton précieux travail, serait vide la table.

Toi l’abeille, très belle hyménoptère,

Tu es indispensable aux vivants de la terre.

 

Maillon essentiel de la chaine alimentaire,

Ton absence ici bas ferait beaucoup de bruit,

Car tu prends soin de notre jardin, la terre,

Pour nous permettre d’en récolter les fruits.

 

Il va vite falloir changer nos habitudes,

Il en va de notre survie, c’est une certitude.

L’homme et l’abeille dépendent l’un de l’autre, 

Et de cette bataille devenons les apôtres .